
Un premier cas de myocardite liée au vaccin Pfizer/BioNTech a été enregistré en Nouvelle-Zélande. L’inflammation du myocarde est l’un des effets secondaires dudit vaccin, selon le ministre de la Santé néo-zélandais David Clark.
Dans une annonce faite par le ministre de la santé de la Nouvelle-Zélande David Clark le 30 août 2021, le pays a enregistré son premier cas de myocardite mortelle provoqué par le vaccin Pfizer/BioNTech. La mort de cette femme a été causée suite à une inflammation de son myocarde qui est l’un des effets secondaires entrainés par le vaccin, selon le ministre.
« C’est le premier cas en Nouvelle-Zélande de décès dans les jours suivant la vaccination liée au vaccin Pfizer », a fait savoir le ministre de la Santé David Clark. Après analyse d’un groupe d’expert indépendant responsable de la sécurité des vaccins, la mort de la femme a été provoquée par une myocardite qui est un effet secondaire très rare du vaccin Pfizer/BioNTech, a-t-il poursuivi.
Dans l’intention de pousser la population à toujours garder confiance dans le vaccin Pfizer/BioNTech, le ministre de la santé relate que le décès de la femme n’était pas seulement occasionné par le vaccin, il y avait aussi d’autres soucis médicaux. « Les avantages de la vaccination avec Pfizer continuent de l’emporter largement sur le risque d’infection au Covid-19 et sur les effets secondaires du vaccin, y compris la myocardite », a défendu David Clark, le ministre de la santé.
En réaction à l’annonce du ministre de la santé de la Nouvelle-Zélande, les responsables du laboratoire Pfizer se disent conscients de l’existence d’un tel effet, même quand ça reste très rare. « Pfizer prend très au sérieux les événements indésirables potentiellement associés à notre vaccin. Nous surveillons de près tous ces événements et collectons des informations à partager avec les autorités sanitaires mondiales », a affirmé les responsables du laboratoire Pfizer.
Jeffly LEFFRANC